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La Maison-Rouge
La distillerie de Bony (1844-1850)

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Dans les années 1840, il existe à la Maison-Rouge, une distillerie de pommes de terre et fabrique de liqueurs, inscrite sous le nom de Société Fauré et Cie. Cette société cesse son activité le 8 juillet 1844. M. Henry de Bony fils reste le seul liquidateur.
Le 15 août 1844, cette distillerie prend le nom de Bony et Cossins (association de MM. Henry de Bony et Alexandre Cossins)
Le 12 avril 1845, cette société est dissoute, M. de Bony est chargé de la liquidation.
En mars 1849, de Bony est toujours distillateur à la Maison-Rouge.
En février, avril et juillet 1850, le matériel d'exploitation est mis en vente. La société n'existe plus...

Ci-dessous, les articles de journaux d'époque se rapportant à la distillerie « de Bony ».

Année 1844

Samedi 31 août 1844 (Courrier de la Moselle)
Annonces judiciaires.
M. de Bony fils, liquidateur de la société Fauré et Cie, établie verbalement entre eux pour la distillerie des pommes de terre et la fabrication de liqueurs, dont le siège était à la Maison-Rouge, déclare par le présent que cette société a cessé d'exister depuis le 8 juillet dernier et qu'il est resté seul liquidateur.
Metz, 29 août 1844. De Bony fils.

Extrait d'un acte de société sous seing-privé, en date du 15 août 1844, enregistré le 29 août 1844, entre les sieurs H. de Bony fils, propriétaire, demeurant à Bellevue, et Alexandre Cossins, propriétaire, demeurant à Woippy, associés pour l'exploitation d'une distillerie établie à la Maison-Rouge, commune dudit Woippy. La raison sociale est de Bony et Cossins. La durée de la société sera de neuf années consécutives, à dater du 25 août présent mois. Le fond social est de 100 000 francs. Les deux associés géreront et administreront les affaires de la société. Chacun aura la signature sociale. Le siège de la société est fixé à ladite Maison-Rouge.
Pour extrait conforme, Metz, le 29 août 1844. De Bony et Cossins.

Mardi 29 octobre 1844 (Courrier de la Moselle)
MM. de Bony et Cossins, distillateurs à la Maison-Rouge, préviennent MM. les boulangers et pâtissiers qu'ils trouveront chez eux, tous les jours, de la levure fraîche, On trouve également dans leur établissement, des résidus de fécule propres à l'engrais des animaux. Le tout à des pris très modérés. (CdMo)

Samedi 2 novembre 1844 (Courrier de la Moselle)
Un incendie très violant a éclaté hier, vers une heure de l'après-midi, à la Maison-Rouge (route de Metz à Thionville), dans l'établissement de MM. de Bony et Cossins. Les premiers secours ont été donnés par quelques habitants de Woippy, et des détachements des 3e, 13e régiments d'artillerie, et d'infanterie, accourus en toute hâte sur le lieu du sinistre.
A l'heure où nous écrivons (huit heures du soir), on nous assure que le feu n'est pas encore éteint, bien qu'il soit concentré. Un sapeur et un habitant de Woippy ont été assez gravement blessés.
On nous cite, comme s'étant particulièrement distingués, MM. Léon Watrin, médecin vétérinaire, qui a fait preuve de la plus rare intrépidité ; Bertrand, conseiller de préfecture ; Henry, capitaine d'état-major ; Sechehaye, juge de paix ; Blancourt, maréchal des logis d'artillerie ; le curé de Woippy, Barthélemy, juge suppléant ; un officier d'artillerie et le sapeur blessé dont nous ignorons les noms, et MM. les docteurs Gillot et Warin qui ne se sont pas bornés à prodiguer leurs soins aux blessés.
Les pompiers de Metz, arrivés après trois heures, ont rempli, comme toujours, leur devoir avec intelligence et dévouement. La distillerie est sauvée : on dit que le bâtiment consumé était assuré.
On se loue peu, en général, des habitants de Woippy, qui auraient montré en cette triste circonstance une indifférence blâmable.

Lundi 4 novembre 1844 ( Indépendant de la Moselle )
Un incendie a éclaté vendredi dernier, vers une heure de l'après-midi, dans les bâtiments de la distillerie établie à la Maison-Rouge sur la route de Metz à Thionville. Le feu a pris dans les fourrages au-dessus de l'étable.
L'escouade des pompiers du fort Moselle et arrivée sur le théâtre de l'événement conduite par M. Blondin, capitaine des sapeurs-pompiers de Metz, au moment où la toiture du bâtiment incendié s'écroulait. Le jeu habilement dirigé de la première pompe, placée à l'intersection de ce bâtiment et de l'usine a assuré la conservation de l'usine, les pompes arrivées ensuite ont éteint le brasier.
Beaucoup d'habitants du voisinage et des militaires, notamment de l'artillerie, avaient donné les premiers secours avec courage et intelligence. Au nombre des militaires qui se sont le plus particulièrement distingués, on cite : MM. Dubois, sergent ; Lefebon, fourrier ; Petitjean, Barbier et Bovet, tous du 2e régiment du génie. MM. Bovet et Barbier ont été blessés, le premier très grièvement, le second légèrement au pied. Un habitant de Woippy, M. Gérard, a été atteint par la chute d'une charpente ; on dit que sa vie est en danger.
MM. Bertrand, conseiller de préfecture ; Bertrand, architecte ; Sechehaye, juge de paix ; Barthélemy père et fils, de Woippy ; Léon Watrin, médecin vétérinaire, sont au nombre des personnes qui se sont fait remarquer tant en dirigeant les secours qu'en agissant individuellement. M. Jouveaux, des sapeurs-pompiers de Metz, a fait preuve d'un zèle tout particulier.

Mardi 5 novembre 1844 (Courrier de la Moselle)
Nous recevons de M. Cossins, l'un des incendiés de la Maison-Rouge, la lettre suivante écrite dans le but de décliner toute participation à l'article du Courrier qui a parlé de cet incendie. M. Cossins est en effet entièrement étranger à cet article, dont l'exactitude nous est de nouveau garantie. On comprendra d'ailleurs que, sur ce sujet, la position de M. Cossins et le nôtre ne comportent pas le même langage :
« Maison-Rouge, le 3 septembre 1844.
Monsieur le rédacteur, Je viens de lire dans votre journal quelques paroles qui tendent à déverser le blâme sur les gens de Woippy en général, qui, y est-il dit, auraient montré dans cette triste circonstance, une indifférence blâmable . Je vous prie, Monsieur le rédacteur, de vouloir bien reconnaître que je suis totalement étranger à cette réflexion aussi bien qu'à l'article lui-même. Je profite de cette occasion pour remercier toutes les personnes et notamment celles de Woippy, qui ont bien voulu nous prêter leurs secours ; quant à celle qui ne l'ont pas fait, le pouvant, ce n'est pas à moi de les en blâmer : quand la reconnaissance remplit le cœur, de pénible sentiments n'y peuvent trouver accès. Veuillez Monsieur le rédacteur, etc. Cossins. »

Mercredi 6 novembre 1844 ( Indépendant de la Moselle )
Nous recevons une protestation de habitants de la commune de Woippy contre un article publié dans le numéro de samedi du Courrier de la Moselle qui les accuse d'avoir montré une indifférence blâmable lors de l'incendie de la Maison Rouge.
Cette protestation établit les faits suivants :
A la première nouvelle de l'incendie les habitants de Woippy sont arrivés en toute hâte sur les lieux : plus de vingt d'entre eux sont montés sur la toiture du bâtiment enflammé, malgré le danger imminent que présentait cette opération, danger tel que le toit n'a pas tardé à s'écrouler sous eux entraînant dans sa chute les courageux sauveteurs. M. Dremerée, victime de son dévouement, a été pris entre deux poutres, et il n'a pu être tiré de cette position désespérée que par le sang-froid intrépide de ses compagnons qui, au milieu des flammes, ont scié les poutres qui le retenaient au-dessus du brasier. M. Dremerée est aujourd'hui dans l'état le plus alarmant.
En présence de ces faits, dont l'authenticité est incontestable, nous aimons à croire qu'il restera au journal désigné plus haut que le regret d'avoir trop légèrement accueilli une grave accusation contre la généreuse population dont la belle conduite ne mérite que des éloges.
Voici quelques paroles adressées au prône de dimanche dernier par M. le curé de Woippy et qui viennent à l'appui des faits précités :
« Je dois au grand nombre de mes paroissiens, qui ont pris part au sinistre qui vient d'éclater à la Maison-Rouge, un témoignage public de la plus vive satisfaction, pour l'empressement, je dirai l'intrépidité, qu'ils ont déployée dans cette dangereuse circonstance. Je le fais d'autant plus volontiers que ce témoignage est en rapport avec la vérité, et qu'il est le désaveu formel d'injustes insinuations. C'est ma consolation et ma gloire d'avoir pour paroissiens de ces hommes de cœur, qui savent aussi bien se dévouer en telle circonstance, qu'ils savent se conduire an toute autres. » Le Courrier de la Moselle publie, dans son numéro d'hier mardi, la lettre suivante qui lui est adressée par l'un des propriétaires de l'établissement incendie :
« Maison-Rouge, le 3 novembre 1844.
Monsieur le rédacteur,
Je viens de lire dans votre journal quelques paroles qui tendent à déverser le blâme sur les gens de Woippy en général, qui, y est-il dit, auraient montré dans cette triste circonstance, une indifférence blâmable . Je vous prie, Monsieur le rédacteur, de vouloir bien reconnaître que je suis totalement étranger à cette réflexion aussi bien qu'à l'article lui-même.
Je profite de cette occasion pour remercier toutes les personnes et notamment celles de Woippy, qui ont bien voulu nous prêter leurs secours ; quant à celle qui ne l'ont pas fait, le pouvant, ce n'est pas à moi de les en blâmer : quand la reconnaissance remplit le cœur, de pénible sentiments n'y peuvent trouver accès. Veuillez Monsieur le rédacteur, etc. Cossins. »
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Au nombre des personnes qui se sont signalées dans l'incendie de vendredi dernier, nous devons ajouter MM. le curé de Woippy, Henry, capitaine d'état-major, Blancourt, maréchal-des-logis d'artillerie, le docteur Gillot et le docteur Warin, ces deux derniers ont su employer contre l'incendie le temps que leur laissaient les soins qu'ils ont prodigué aux blessés avec la plus touchante sollicitude. Nous devons aussi rétablir le nom, mal indiqué dans notre dernier numéro, du fourrier du 2e régiment du génie qui s'est fait remarquer par son zèle intelligent et courageux, ce brave sous-officier s'appelle Lefebvre.

Jeudi 7 novembre 1844 (Courrier de la Moselle)
Nous avons dit dans notre numéro du samedi 2 novembre 1844, en rendant compte de l'incendie de la Maison-Rouge : « On se loue peu, en général, des habitants de Woippy, qui auraient montré, en cette triste circonstance, une indifférence blâmable. »
Cette phrase, nous le croyons encore, était l'expression de l'opinion publique sur des faits dont plusieurs des travailleurs de l'incendie avaient été témoins. Cependant nous avons reçu, signée de 27 habitants de Woippy, une protestation contre notre assertion. Cette protestation qui a, en partie, trouvé place dans un autre journal, non seulement prouve que tous les habitants de Woippy n'ont pas montré « l'indifférence blâmable » contre laquelle nous nous sommes élevés et dont nous n'avons pas accusé la population entière : mais par certains détails, dans lesquels nous n'avons pas à entrer ici, elle corrobore jusqu'è un certain point l'opinion que nous avons émise : « Plusieurs habitants de Woippy, dit-elle, présents à cette scène…, se sont à l'instant donné le mot pour se retirer et rentrer dans leur domicile ; ce qui, sans doute, a donné lieu à l'insertion dont nous nous plaignons. »
Quant à M. le curé de Woippy, qui s'était fort bien conduit comme travailleur, il a bien fait, comme pasteur, de louer en chaire ceux de ses paroissiens qui l'avaient imité en faisant preuve de dévouement ; mais nous croyons qu'il aurait mieux fait encore de n'adresser d'éloges qu'à ceux-là.

Samedi 9 novembre 1844 (Courrier de la Moselle)
MM. de Bony et Cossins, distillateurs à la Maison-Rouge, préviennent MM. les boulangers et pâtissiers qu'ils trouveront chez eux, tous les jours, de la levure fraîche, On trouve également dans leur établissement, des résidus de fécule propres à l'engrais des animaux. Le tout à des pris très modérés.

Année 1845

Samedi 26 avril 1845 (Courrier de la Moselle)
Annonce judiciaire.
Dissolution de société. Par acte sous seing-privé, fait double à Metz, le 12 avril 1845, y enregistré le 26, la société commerciale constituée entre MM. Alexandre Cossins, propriétaire, demeurant à Woippy, et M. Henry de Bony fils, distillateur à la Maison-Rouge, ladite société; ayant pour objet la distillerie de pommes de terre, sous la raison de Bony et Cossins , a été déclarée dissoute à compter dudit jour, 12 avril 1845, et M. de Bony a été chargé de la liquidation. Pour extrait à publier, aux termes des articles 42 et 46 du code de commerce, dans le Courrier de la Moselle du 26 avril 1845. Cossins, H. de Bony.

Samedi 20 septembre 1845 (Courrier de la Moselle)
Avis divers.
MM. de Bony et Cie, distillateurs à la Maison-Rouge (près Metz, route de Thionville), préviennent les cultivateurs qu'à dater de ce jour les pommes de terre attaquées, qui ne seraient point admises sur les marchés, seront reçues dans leur établissement. Le prix sera basé sur ce qu'on pourra tirer par la distillation. Ils croient devoir aussi engager à arracher et à transporter chez eux, le plus promptement possible, les pommes de terre qu'on croirait attaquées et qu'on destinerait à la distillation.

Mardi 30 décembre 1845 (Courrier de la Moselle)
Dimanche 4 janvier 1846, après la messe, dans la maison de M. Cossins, à Woippy, Sarazin, huissier à Metz, procédera à la vente du mobilier désigné ci-après : Quantité de bons matelas, sommiers, plumons, traversins, oreillers, couvertures en laine et coton, courtes-pointes, tapis, rideaux de lit et de croisée, beaux draps, nappes, serviettes, services complets en toile ouvrée et damassée ; beaux meubles, armoires, secrétaires, commodes, chiffonniers, couches, tables de nuit en acajou et noyer, belles tables avec ou sans allonges, tables à jeux, consoles, toilettes, glaces, pendules, garnitures de cheminée en porcelaine garnies de fleurs artificielles, fauteuils, canapé garnis en velours, chaises ; batterie de cuisine en fer, cuivre et airain, faïence, verrerie et poterie, cheminées, chenets, motrets, attirails de feu et de four, malles, paniers, outils et autres objets. A six mois de crédit.

Année 1849

Mardi 20 mars 1849 (Courrier de la Moselle)
Avis aux planteurs de pommes de terre.
A l'occasion du moment prochain de la plantation des pommes de terre, M. De Bony, distillateur à la Maison-Rouge, commune de Woippy, près Metz, prévient MM. les cultivateurs qu'il est acheteur, dès à présent, jusqu'à la fin du mois, de toutes les quantités de pommes de terre dont on voudra traiter avec lui la vente à l'avance, au prix de 2,50 fr. les 100 kilogrammes, rendus.

Année 1850

Mardi 2 avril 1850 (Courrier de la Moselle)
Occasion avantageuse.
A vendre à la Maison-Rouge, commune de Woippy-lès-Metz :
1° Une machine à vapeur de nouvelle construction, de la force de 10 chevaux, avec son générateur. Cette machine fait fonctionner un moulin, plusieurs pompes à eau et à matières, un tir-sacs, un cylindre à laver les pommes de terre, 2 cylindres laminoirs et un pétrin.
2° Deux appareils distillatoires, montés d'après le système le plus perfectionné, pouvant produire ensemble 10 à 11 hectolitres d'esprit désinfecté par 24 heures à 92 degrés et à jet continu ; chacun d'eux se compose de deux grandes chaudières en cuivre rouge, d'un avant-chauffeur à double fond, d'un désinfecteur, un manchon rectificateur, de cinq plateaux à air libre et d'un réfrigérant. Les agrès sont composés de plusieurs réservoirs d'eau en cuivre et en zinc, de 50 cuves à fermentation de 14, 15 et 30 hectolitres, de deux foudres à cuire les pommes de terre, de tous les tuyaux en cuivre et plomb, nécessaires à la conduite des eaux ou des matiéres à distiller, etc.
3° Un générateur tout neuf, de la force de 20 chevaux.
4° Deux chaudières à serpentins en cuivre, propres à la raffinerie des mélasses et à la fabrication des sucres de fécules, avec leurs filtres, réservoirs, etc, ces chaudières sont nécessaires pour la distillation des mélasses.
L'on vendrait à volonté des amateurs, soit le tout ensemble, soit la machine à vapeur seule, soit enfin un ou les deux appareils distillatoires. S'adresser à M. de Bony, propriétaire à la Maison-Rouge, commune de Woippy-lès-Metz.

Samedi 13 juillet 1850 (Courrier de la Moselle)
Périquet, huissier, demeurant à Metz, rue du Petit-Paris, 6.
Vente pour cause de départ, à la Maison-Rouge, commune de Woippy, d'un matériel de distillerie et raffinerie avec tous ses accessoires, 12 000 kilogrammes de mélasse de diverses qualités, un cheval, harnais, char à bancs, voiture, tombereaux, baquets, foudres, cuves, cuvelles, une boutique de maréchal-ferrant, un atelier de menuiserie et de tonnelier, et d'un mobilier.
Le lundi 5 août 1850 et jours suivants, à neuf heures du matin, à la Maison-Rouge, commune de Woippy, au domicile de M. de Bony, il sera, par Périquet, huissier à Metz, procédé à la vente des objets dont la désignation suit, savoir :
(voir l'annonce du mardi 2 avril 1850 : 1°, 2°, 3° et 4°)
Les objets ci-dessus seront vendus soit en gros, soit en détail, au gré des amateurs.
Douze mille kilogrammes de mélasses, de diverses qualités, en fûts, propres à la vente ; un cheval, harnais, char à bancs ; une boutique de maréchal-ferrant, une autre boutique de menuiserie et tonnellerie, une pompe à corps en fonte, une autre portative ; trente hectolitres de noir animal ; quatre bacs garnis en zinc, quatre-vingt sacs, deux ponts à fossés, d'un mobilier, et d'autres objets dont le détail serait trop long.
A crédit et aux conditions du procès-verbal, à charge de fournir caution si on l'exige.

Années 1851 et 1853

Que se passe-t-il après la liquidation de la distillerie de Bony ?
Le propriétaire des lieux aménage une brasserie dans les locaux libérés.



Jeudi 3 novembre 1853
(Courrier de la Moselle)


Plan de la Maison-Rouge dans les années 1850

Vue des caves voutées selon « coupe a » du plan ci-dessus

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