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  Dernière mise à jour : 9 octobre 2014

La Maison Rouge - 300 ans d'histoire

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(1) Un jour correspondait à environ 35 ares 1/2.
(2) Les textes en italique sont les transcriptions des documents d’archives souvent écrits en vieux français. Pour en faciliter la lecture, elles seront tout au long du texte écrites en vocabulaire actuel.
La Maison Rouge, c’est l’histoire d’une pièce de terre labourable de 1 jour environ1, située sur le ban de Woippy au lieu-dit en la croizette, le grand chemin de Ladonchamps d’une part et celui de Sainte Agathe d’autre, aboutissant sur le chemin qui traverse lesdits deux grands chemins pour aller à Woippy2 : c’est-à-dire, pour situer les lieux aujourd’hui, entre la voie ferrée et la route de Thionville dans le prolongement de la rue de Ladonchamps.

Au début, cette pièce de terre appartenait à Nicolas Thomas. Après son décès, elle avait été achetée par Jean-Mathieu Jeoffroy, chanoine et grand archidiacre de la cathédrale de Metz.

Le 10 avril 1687, Jean-Mathieu Jeoffroy la vend, pour la somme de 40 écus messins, à Pierre Hun et Marie Girard, son épouse, tous deux demeurant à Ladonchamps, en la maison où pend pour enseigne la Garde de Dieu.

Et c’est avec ces nouveaux propriétaires que débute l’histoire de la Maison Rouge.

* * *

Ces nouveaux propriétaires obtiennent, le 20 mai 1692, de Mrs les Trésoriers de France, la liberté de bâtir une maison pour y tenir cabaret, et commencent par entourer la partie destinée au jardin avec une palissade. Mais quelques mois plus tard, le 21 août, hors d’état d’entreprendre les travaux de construction, les époux Hun-Girard cèdent, pour la somme de 80 écus messins (40 écus pour le terrain et même somme pour les palissades) ou 150 livres en monnaie de France, la place contenant un journal de terre et plus, dont une partie dudit terrain est entouré de palissades, à Charles Fetiq, de Cussigny, près de Longwy, avocat au Parlement de Metz.
Mais lors de la rédaction du contrat de vente, les vendeurs Pierre Hun et Marie Girard, obtiennent de la part de l’acheteur Charles Fetiq, que celui-ci, s’il décidait de faire bâtir sur sa nouvelle propriété, leur confie la conduite de la construction du bâtiment ... avec faculté à mondit Sr. Fetiq après le bâtiment fait, de leur en laisser la jouissance sous forme le loyer à prix raisonnable ...

Le grand chemin de Metz à Thionville et les lieux-dits adjacents à la fin du XVIIe siècle.

Cinq ans de patience seront nécessaires pour que les époux Hun voient enfin leur "projet" se réaliser. En effet, un mémoire et devis des ouvrages d’une maison située sur le grand chemin de Metz à Thionville, faisant face à la ville de Metz, en date du 7 septembre 1696 nous décrit la future construction :
... La maison mesure 40 pieds par façade (1 pied = 32,4 cm - soit environ 13 mètres), et 26 pieds de hauteur (environ 8,4 m), elle possède une cave et un puits dans la cour.
La porte d’entrée, qui mesure 3 ½ pieds de large et 6 de hauteur, donne sur un couloir qui traverse la maison. La porte du fond, de même mesure, donne sur le jardin.
Il semble que la cuisine située à gauche du couloir ait aussi une porte d’entrée sur la façade.
Les pièces, éclairées par une double fenêtre de 4 pieds de large et 4 ½ de haut, possèdent une cheminée de pierre de taille avec un chauffoir pour poser une taque ; une chambre contient un four tenant une quarte ½ (environ 100 litres) ; les chambres du haut possèdent toutes une cheminée ; le grenier est éclairé par 4 fenêtres sur le devant et 2 sur le derrière.
Une écurie, de même longueur que la maison, lui est accolée. Elle a 2 portes en chêne de 10 pieds de largeur et hauteur, et deux petites fenêtre pour donner jour. Une gerbière sur le devant permet de décharger le fourrage.
Cette maison sera construite par les maîtres maçons Jean Spinasse et Jean Bert demeurant à Ladonchamps et à Lorry-devant-Metz. La charpente sera installée par Jacques François dit Poliac. La rémunération sera de 1250 francs messins payables par parties avec l’avancement...

La dernière page du mémoire est signée par les parties prenantes, dont Pierre Hun et son épouse Marie Girard, subrogés par Charles Fetiq.

La marque de Jean Spinasse, Jean Bert, Pierre Hun, Marie Girard et Charles Fetiq.

Les fondements (fondations), excavations, cave et puits, et même élévation des murs, débutent aussitôt (avant l’hiver 1696), de telle sorte que le travail sera fait et parfait à la Saint Jean-Baptiste (24 juin 1697). La rémunération est de 1250 francs messins payables par parties avec l’avancement.

La construction achevée, tout laisse à penser que les époux Hun furent les premiers tenanciers de cette nouvelle auberge. Etaient-ils heureux et satisfaits ? Leur projet s’était réalisé.

Quelques reconnaissances de "paiement" lors des travaux.
Je soussigné Jean Berche (Bert), maître maçon dénommé au traité ... reconnais ... avoir reçu de M. Fetiq, à l’acquit de Pierre Hun, et en déduction dudit traité, quatorze écus blancs faisant quarante deux livres, et promis en mon nom de continuer l’ouvrage.   A Metz ce 7 octobre 1696.   Jean Bert.

Je sousmarqué Didier Busy, chaufournier (exploitant de four à chaux) à Béchy, reconnais avoir reçu de M. Fétiq de Cussigny à l’acquit de Pierre Hun et à sa prière, vingt trois livres huit sols pour 52 quartes de chaux que je lui ai fournies pour son bâtiment sur le chemin de Ladonchamps et Briey...
... à Metz, ce 14 novembre 1696.

La marque dudit Didier Busy et la signature de Pierre Hun.

Je sousmarqué Jacques François dit Poliac, reconnais avoir reçu de M. Fétiq, à l’acquit de Pierre Hun, et en déduction de 50 écus que je dois avoir pour toute la charpente à faire dans la maison dudit Hun, près de Ladonchamps, douze écus blancs faisant 36 livres ... et a ledit Poliac marqué et ledit Hun signé.
A Metz, ce 29 décembre 1696.


+ La marque de Jean François de Poliac et la signature de Pierre Hun.

Malheureusement, une dizaine d’années plus tard, suite à des ennuis financiers, Charles Fetiq fut l’objet d’une saisie judiciaire et la Maison Rouge où pend pour enseigne Le Prince de Liège est mise en vente le 8 juillet 1706.
La propriété consistant en ...
une cour pour l’entrée enfermée de planches de sapins, dans laquelle cour est le puits ; ensuite le corps de logis consistant en une allée (couloir), à gauche de laquelle en entrant est une chambre servant de poêle, ensuite la cuisine, et à droite de ladite allée est une autre chambre prenant jour sur la cour, ensuite une chambre où est le four prenant jour sur le jardin, et au-dessus desdites chambres, cuisine et allée, il y a quatre autres chambres prenant jour sur la cour et sur le jardin, et au-dessus d’icelles est un grand grenier planché prenant jour pareil que lesdites chambres, auquel appartement l’on monte par un escalier de bois situé sur la droite et en entrant dans la maison ; à droite duquel corps de logis en entrant sont les écuries à mettre environ trente chevaux, le grenier au-dessus à mettre le foin, lesquelles écuries ont leur sortie tant du côté jardin que sur ladite cour, et à côté sont les granges ... sous le corps de logis et bâtiment il y a deux caves, l’entrée desquelles est dans la cour ; du derrière dudit bâtiment est le grand jardin enfermé de palissades bois de chêne, contenant environ un jour et demi de terre ...
est acquise, après plusieurs enchères, par Gilles Tournois pour le compte de François Hordal Dulis, conseiller à la Cour de Metz, pour 2100 livres.

Après cette vente, il semblerait que les premiers tenanciers de la Maison Rouge, Pierre Hun et Marie Girard, eurent leur "accord" rompu car en 1709, Gilles Guillaume demeure à la Maison Rouge, avec son épouse Marguerite Léonarde Bournonville. En 1711, Gilles Guillaume, marchand à la Maison Rouge, veuf, se remarie avec Jeanne Fristo (elle-même veuve).
En 1715, Pierre Richard est cabaretier à la Maison Rouge, son épouse est Marie-Anne Dhoufelt. Le 30 mars 1722, François d’Hordal Dulys lui renouvelle un bail de 9 ans et s’oblige à lui passer contrat de vente à l’expiration du bail.
La vente est réalisée le 9 juin 1730 pour le prix de 3000 livres tournois. Mais Pierre Richard n’en sera propriétaire que peu de temps car, le 27 octobre 1734, après son décès, et celui de Marie Dhoufelt, la Maison Rouge est mise en location à bail de trois ans sur demande du tuteur des enfants mineurs du défunt.
Après plusieurs enchères, la Maison Rouge est attribuée à Jean-François Richard, fils des défunts, et à sa fiancée, pour 400 livres tournois.

Le 3 mai 1741, après la sentence rendue au siège du bailliage le 25 février 1739 suite au non payement du canon (redevance généralement annuelle) d’un bail de pré, la Maison Rouge est saisie et mise en vente. Elle est adjugée 4000 livres à Jean-Henry Lefebure de Ladonchamps, chevalier, seigneur de Saulny, conseiller au parlement, et Dame Thérèse de Médrano, son épouse.
Le nouveau propriétaire ayant à charge de poursuivre le bail consenti à Pierre Simon par Jean-François Richard.

La Maison Rouge à louer - 27 septembre 1734.
En 1750, Mathis Melchior et sa femme Catherine Sele sont aubergistes à la Maison Rouge. Il serait dommage de ne pas signaler qu’à cette date, ils font construire une maison au lieu-dit au champ chaudron dans la fin des trente fauchées, ce lieu-dit en son temps était délimité à l’orient par le grand chemin de Thionville, et au nord par le chemin de Woippy à St Eloy.
Cette maison sera tout simplement appelée la Maison Neuve et donnera aussi son nom au lieu-dit.

Le 12 septembre 1766, Jean-Henry Lefebure de Ladonchamps décéde en la paroisse St-Victor, à Metz. Son fils, Charles Alexandre Pierre Lefebure, chevalier de Ladonchamps, vend, le 31 mai 1771, la propriété de la Maison Rouge pour 8000 livres tournois, à Georges Poulmaire, aubergiste à ladite Maison Rouge, et Marie Friren son épouse.

Le 22 septembre 1804 (n’oublions pas qu’à cette date, le calendrier républicain est encore de rigueur ! Disons donc : 5ème jour complémentaire de l’an XII), Georges Poulmaire vend la Maison Rouge à son fils Gabriel Poulmaire et à son épouse, Reine-Martin Schreck, pour la somme de 14 810 francs. Le contrat de vente est signé en présence (entre autres) de François Drogent, pensionnaire de l’état et commis de la barrière de ladite Maison Rouge.
Les vendeurs se réservant l’usufruit et jouissance d’un bâtiment qui est à droite de la cour en entrant du côté de Metz, et des deux carreaux de jardin qui sont du côté du levant. Les acquéreurs ne devant avoir aucune fréquentation dans ledit bâtiment sinon pour l’usage de la chambre à four qui sera commune entre les vendeurs et les acquéreurs.
Le 9 avril 1826, Gabriel Poulmaire vend à Nicolas Eisenbach, marchand brasseur, demeurant à la Maison Rouge, et Emilie Suzanne Poulmaire son épouse (ses gendre et fille), la moitié de la Maison Rouge pour la somme de 16 000 francs. Sa fille unique était déjà propriétaire de l’autre moitié. Le contrat de vente cite un clos planté de vignes et une houblonnière4.
(4) La présence de cette houblonnière permet de déduire l’existence d’une brasserie à la Maison Neuve. Cette brasserie a été construite entre les années 1806 et 1826. L’auberge de la Maison Neuve possédait aussi une brasserie. Sa construction se situe entre les années 1815 et 1823.
(5) Colonel d’artillerie, il sera aide de camp du général Margueritte (tué à Sedan en 1870), puis chef de la Section Historique à l’état-major de l’armée.


La Maison Rouge est citée le 29 octobre 1833 dans l’acte de mariage de Jean-François Henderson et Charlotte Willaume. Jean-François Henderson demeurant à la Maison Rouge est fabricant de bière. Il est le fils de John Henderson Bard, de Fordel, en Fifesbire (Ecosse) et de Louise Wheattley. Son épouse est la fille d’Ambroise Willaume (célèbre chirurgien messin) et de Marie-Adélaide Poivre.
De leur union naîtra, le 28 mars 1835, Emile-Amboise Henderson, qui fit une brillante carrière militaire5.

Le 11 mai 1837, Michel Berveiller, pharmacien à Metz, et Elisabeth Julie Simon son épouse, achètent la Maison Rouge, au prix de 30 000 francs, à Emilie Suzanne Poulmaire, épouse de Nicolas Eisenbach.

L’ensemble de la Maison Rouge et ses dépendances se compose à cette date :
- d’une maison d’auberge dite la Maison Rouge, avec ses remise, grange, grenier, cour et jardins, une brasserie y attenant, un jardin et une houblonnière.
- d’une maison d’habitation à côté de l’auberge de la Maison Rouge, avec cour, écuries, un jardin et un clos planté en vignes et verger.
- d'un terrain de contenance 1 hectare 76 ares environ renfermant un pavillon et une pièce d’eau,
- d’une pièce de terre de 13 ares longeant le route de Briey, plantée de cerisiers,
- d’un pré de 88 ares au lieu-dit "pré de Talange",
- d’un autre pré "en grande Bayonville", de 1 hectare 24 ares (ou 3 fauchées ½),
- d’une pièce de terre "en mongnière" de 2 jours ½ ou 87 ares.

Le 8 juillet 1844, la Société Fauré et Cie établie à la Maison Rouge pour la distillation des pommes de terre et la fabrication de liqueurs est dissoute. Elle est reconstituée le 25 août suivant par H. de Bony fils, demeurant à Bellevue, et Alexandre Cossins, demeurant à Woippy, sous la raison sociale de Bony et Cossins pour l’exploitation d’une distillerie de pommes de terre et d’une brasserie.

En novembre de cette année, un incendie se déclare dans cet établissement. Les premiers secours sont donnés par quelques habitants de Woippy et des détachements des 3e et 13e régiments d’artillerie et d’infanterie accourus en toute hâte sur les lieux. Les pompiers de Metz n’arriveront que trois heures plus tard pour remplir leur devoir avec intelligence et dévouement. La distillerie a été sauvée mais un bâtiment s’est consumé.

En 1854, la voie de chemin de fer Metz-Thionville est ouverte à la circulation. La ligne, qui traverse la commune de Woippy en longeant la route de Thionville a nécessité l’expropriation de 77 parcelles totalisant 5 hectares et 75 ares.
La Maison Rouge aura été amputée de 21,91 ares de vignes, 8,95 ares de jardin, d’une cour et d’un bâtiment de 4,85 ares ; soit au total 35 ares 71.

Dans la dernière décennie du XIXème siècle, apparaît une personne que Pierre Brasme, dans son "Histoire de Woippy", considère comme le premier industriel de la commune : Alfred Traus.

Annonces dans un journal messin de 1891

Cette même année 1891, le Conseil municipal examine une demande d’Alfred Traus visant à installer à la Maison Rouge une fabrique de couleurs et vernis. L’avis est favorable, à la condition que cette usine ne portera aucun préjudice aux propriétés voisines ainsi qu’à la salubrité et à l’hygiène publiques.
L’autorisation ne sera accordée par le Président de Lorraine qu’en décembre 1894.

Avant 1900, Alfred Traus installe aussi une conserverie à la Maison Rouge, sous la raison sociale Lothringer Conserven Fabrik. Elle fonctionne à la vapeur et à l’électricité. On y fabrique des confitures et des conserves de fruits, de légumes et de viande. Cette entreprise, en 1904, emploie une cinquantaine d’ouvrières. Elle est déclarée en faillite en 1908 et vendue aux enchères.

Alfred Traus installe aussi, en janvier 1903, une raffinerie d’essence (Benzinfabrik) qui fabrique pas moins de 12 sortes d’essences, de l’éther léger à l’essence ordinaire.
En 1910, la conserverie est reprise par une société ayant pour objet la fabrication et la vente de légumes et de fruits en conserves de toutes natures.
Cette entreprise est rachetée en décembre 1913 par le rentier strasbourgeois Achille Vogel, Emile Debs (qui en était déjà le gérant), et Pierre Davion, tous deux commerçants à Woippy.
A la veille de la Première Guerre Mondiale, l’entreprise est florissante, elle emploie 35 hommes et 50 à 60 femmes ; sa situation s’aggrave durant le conflit par manque d’approvisionnement mais elle reprendra ses activités normales après l’armistice.



Au lieu-dit "La Maison Rouge", de l’autre côté du chemin de fer, sur la rue de Ladonchamps actuelle, une deuxième conserverie s’installe en 1922, il s’agit de la conserverie Dubar. Cette conserverie fonctionnera jusqu’en 1932. Les locaux seront repris par la société Tréfilor. Cette dernière entreprise fermera ses portes en 1967. Les bâtiments ont été démolis il y a quelques années.
Actuellement, en 1998, sur cet ancien lieu-dit en la croizette, de plus de 300 ans d’histoire, des anciens bâtiments et des hangars, vestiges d’une activité passée, subsistent. Du côté de la voie ferrée, longeant un quai vide, une voie de garage, envahie par les herbes et coupée à tout jamais des autres voies, n’en finit pas de rouiller. Les murs, avec leurs ouvertures obstruées font la joie des tagueurs.
Les premiers bâtiments longeant la route de Thionville sont actuellement à louer. Dans les années 60, ils abritaient les Etablissements Berger et les Etablissements Cedonet (Meubles Européens). En dernier lieu, on y trouvait une brocante, des meubles anciens et d’occasion.
Dans la cour, un bâtiment habité, repeint en entier ces derniers mois, d’un étage avec grenier, dont la façade regarde Metz, contiguë à un hangar abritant la société Dimex-Lorraine, a attiré mon attention: sur le linteau de la porte d’entrée, une date gravée : 1776, et deux initiales : GP et MF. Ce sont celles de Georges Poulmaire et Marie Friren.
Ils ont acquis la Maison Rouge en 1771. En 1804, Georges Poulmaire, sentant peut-être sa fin prochaine, rédige son testament en présence de sa femme et de ses onze enfants. Il meurt le 1er frimaire an XIV (22 novembre 1805) à la Maison Rouge.
Que représente cette date 1776 ? Quel fait marquant commémore-t-elle ? On peut tout supposer !
Est-ce l’agrandissement de l’auberge dite de la Maison Rouge ?
Est-ce aussi une nouvelle construction qui remplaça la Maison Rouge primitive déjà octogénaire en 1776 ?
Serait-ce aussi ...

Peut-être un jour, au détour d'un document d'archive, aurons-nous une réponse ?

Recherches et transcription des textes d’archive : René MOGNON
Récit, mise en page, documents, photographies : Philippe THOEN



Sources :
Archives Départementales de la Moselle.
Brasme (P.), Woippy de 1871 à nos jours, Ed. Serpenoise, Metz, 1994.

On peut retrouver cet historique dans les Chronqiues du Graoully n°8 - 1998, revue annuelle éditée par la Société d'Histoire de Woippy.
Site Internet de la Société d'Histoire de Woippy : http://www.shw-woippy.net

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